Comme c’était prévu La GM et meilleure joueuse de l’histoire d’échecs Judit POLGAR vient de jouer une simultanée inoubliable le vendredi 02 juillet 2010 à l’hôtel Kenzy Farah contre 20 jeunes joueuses, et ce dans le cadre du projet de promotion des échecs féminines initié par Mr Larbi Houari et encouragé par l’AFEM (Association des Femmes Entrepreneurs Marocaines).
Après la simultanée Judit a bien voulu répondre avec coeur ouvert aux questions des différentes participantes qui nous ont bien surpris par l’importance, la qualité et la diversité de leurs questions et qui ont touché la vie échiquéenne, familiale et personnelle de Judit en plus de son expérience, sa vision et ses points de vue dans le domaine d’entraînement, de formation, de compétition…
Ainsi 20 joueuses ont participé à cette simultanée et à leur tête les membres de l’équipe nationale féminine :
Laila El Amri : WFM, Championne du Maroc individuelle et par équipe, et ex-championne arabe des catégories (FUS de Rabat)
Fadoua Arif : WFM et ex-championne arabe des catégories (Menara Echecs Club de Marrakech)
Maha Bennani : WFM et ex-championne arabe des catégories (FUS de Rabat)
Wassima Zahid : Vice-championne du Maroc (RAJA de Casablanca)
Rania Sbai : Ex-championne du Maroc des catégories (F.C Tétouan)
Firdaous Mayar Idrissi : RAJA de Casablance
Résultat final : Judit a gagné les 20 parties tout en affirmant qu’il y a eu de belles parties qui prouvent que les jeunes participantes peuvent avoir un bel avenir échiquéen si elles continuent à travailler, s’entraîner et à jouer plus régulièrement.
Avant la clôture de cet évènement échiquéen Judit POLGAR a répondu avec gentillesse et modestie aux demandes de signature des dédicaces. Mr Larbi Houari avait préparé pour cette occasion des tee-shirts du tournoi, et a même proposé aux participantes de signer ensemble à leur tour un tee-shirt qui sera gardé comme souvenir par la GM Judit Polgar qui a été touchée par ce geste simple, mais très fort en signification en affirmant que durant ses 25 ans de jeu et de signature des dédicaces, jamais on n’a pensé à lui signer un souvenir comme c’est le cas à Marrakech.